Le TDPM est reconnu pour la première fois en juillet 2013 dans le DSM-5 et en 2019 dans la CIM-11 après un long parcours pour identifier son existence. Ce trouble encore peu connu entraine pourtant des symptômes psychologiques lourds. La répétition des phases dysphoriques engendre une altération des ressources psychologiques générales et de la satisfaction de vie chez les personnes atteintes de ce trouble. En 2022, le TDPM est sous-diagnostiqué en France. Les personnes qui en souffrent doivent pouvoir bénéficier d’une prise en charge adaptée. Notre objectif était de proposer un modèle de compréhension du TDPM qui permette de structurer une approche psychothérapeutique cognitivo-comportementale