Il y a des visages qui ne s’effacent pas : émois et résonances des premiers soins
Abstract
Spécialisée en anthropologie des soins, du corps etdes émotions, ma lecture des récits sensibles desélèves aides-soignantes m’a renvoyée des annéesen arrière : au commencement de mes études surles infirmières hospitalières, débutées suite à unstage marquant en gériatrie. Comme de nombreuxenfants d’infirmières, j’y avais travaillé en qualitéd’agent hospitalier en remplacement d’été, et plustard mis en mots cette expérience...