« Ce dont j'ai besoin c'est des histoires » : l'avidité fictionnelle dans Molloy - Université Paris Nanterre Accéder directement au contenu
Communication Dans Un Congrès Année : 2010

« Ce dont j'ai besoin c'est des histoires » : l'avidité fictionnelle dans Molloy

Résumé

Tous les qualificatifs les plus péjoratifs ont été apposés à l'oeuvre beckettienne, taxée tour à tour de « cauchemar philosophique », d'effondrement du sens, ou encore de « suspension systématique de la positivité » 1. Évelyne Grossman a pourtant exemplairement montré la force ambivalente et ambiguë qui anime l'oeuvre beckettienne, en utilisant notamment le concept de « décréation » que Beckett, lui-même avait peut-être déjà employé.

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Identifiants

  • HAL Id : hal-03108870 , version 1

Citer

Sarah Clément. « Ce dont j'ai besoin c'est des histoires » : l'avidité fictionnelle dans Molloy. Journée d'études doctorales sur Samuel Beckett, Mar 2010, Paris, France. pp. 61-68. ⟨hal-03108870⟩
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